"Écot, tronc d'arbre, rameau imparfaitement élagué" : Car vous seulle estes la sente Qui de mon bien est l'atente, L'escot ou mon espoir s'ente (CHR. PIZ., Cent ball. amant dame C., c.1409-1410, 62).

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En partic. au fig. : Aprés par multiplicacion de coultivement tant crut et augmenta tousjours en habondance de digneté ce noble escot que les plantes ja montees et enbelies en leur force couronnerent le .IIIme. gitton de leur venue, et comme le plus auttorisié en firent leur roy. (CHR. PIZ., Avision T., 1405, 78).
 

"Pousse"

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P. métaph. [Dans le domaine de la parenté] : Et sont les uns plus prochains ensemble et les autres sont plus estranges ou plus lointains selon ce que ilz sont plus pres ou plus loing de la premiere racine ou souche ou escot. (ORESME, E.A., c.1370, 442).
 

"Tronc d'arbre (imparfaitement élagué)" : Et sachiez, mes tres doulz amis, que homme est une arbre bestournee ; c'est à dire l'escot (...) et les racines duquelle sont verseez contremont et la summité avec les rainsiaux en aval (Man. lang. G., 1396, 45).

REM. T-L (même ex.).
 

"Pousse, rameau" : Plusieurs hystoires de Lancelot du Lac, Celle d'Athenes, du grant Cocodrillac, Escus pendans soubz arbres a grans escocz (LA VIGNE, V.N., p.1495, 161).