C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

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SEIGNEUR
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8 exemples
 1 Car rien n'est commun au seigneur et au serf en tant come serf. (ORESME, E.A., c.1370, 439).
 2 Et la cause est car la ou il n'a rien commun au seigneur et au subject, illecques ne a ne amistié ne juste. (ORESME, E.A., c.1370, 439).
 3 ...si comme par aventure, se un grant seigneur estoit pris et il se humilioit devant son adversaire pour paour de mort. (ORESME, E.A.C., c.1370, 177).
 4 En la confiance de l'aide de Nostre Seigneur Jhesu Crist, du commandement de tres noble et tres excellent prince Charles, par la grace de Dieu roy de France, je propose translater de latin en françois aucuns livres lesquelx fist Aristote le souverain philosophe, qui fu docteur et conseillier du grant roy Alexandre. (ORESME, E.A., c.1370, 97).
 5 Et peut-estre que ainsi estoit de la legion des mauvés angelz que nostre Seigneur mist hors d'un honme, si comme dist l'Evangile, car legion contient VImLXVI (ORESME, C.M., c.1377, 288).
 6 Ou .XVIIIe. il [Aristote] monstre comment aucunes parties de cité communiquent ensemble et queles gens doivent estre seigneurs des possessions. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 305).
 7 Car ceulz qui sunt seigneurs des armes, il sunt seigneurs de faire la policie durer et perseverer ou non durer. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 305).
 8 ...le princey appelé prutannee estoit seigneur de mont de choses et de grandes choses. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 275).
OresmeCharles Brucker
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