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Et la tout avant, appellant l'aide de mon Pere et de sa tresdoulce mere, et de scructine diligemment enquester de quel sourjon la riviere est yssue de son chanal et de quel vent la fortune et tempeste est lievee. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 277). |
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