C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tenues dans 7FMR 
99 attestations 
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[1] Et Troylus, son mainsné filz, Tant bien le fist que soiez fis Qu'il ne valoit pas gaires mains De Hector, s'il n'eust vescu mains, Car par lui furent soustenues Les batailles et tant tenues Que Grieux n'avoient l'avantage Sur Troyens, pour quelque dommageQu'il leur eussent fait ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 111)
[2] Si doit chascun savoir que n'est mie petit lien de se soubzmectre à service, car quoy que lien de mariage soit sacrement de Sainte Eglise par laquelle force est permis à l'omme de laissier pere et mere pour aler avec sa partie, neantmoins le IJ. parties, tous d'un accort mises en indifferens services, seront tenues durant ledit service laissier l'un l'autre et tout obeissance de mariage gardée toutesvoies leur loyaulté pour entendre au dit service. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 86)
[3] Et quant toutes ces voyes elle aura un temps tenues et verra que il ne s'en vouldra amender, son reffuge sera a Dieu : mettra toute peinne de s'en mettre a paix, sans plus lui en parler. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 55)
[4] Ainsi comme il estoit raison, A la court ma dame Raison Ou justes causes sont tenues, Ces quatre dames sont venues ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 122)
[5] le visage de beau tour, un peu longuet, grant front et large avoit, sorcilz en archiez, les yeulz de belle forme, bien assis, chastains en couleur et arrestez en regart, hault nez assez et bouche non trop petite et tenues levres. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 48)
[6]) furent tenues et demourerent en leur estat ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 237)
[7] Et véez cy les habilitéz qui furent tenues. (COMM., I, 1489-1491, 173)
[8] Et davantaige promectoit le roy bailler audict duc la ville de Sainct Quentin, dont assez a esté parlé, et luy donnoit tout l'argent et autres meubles dudict connestable qui se pourroient trouver dedans le royaume avecques toutes seigneuries tenues dudict duc. (COMM., I, 1489-1491, 247)
[9] Et, oultre, luy ouvrit ung party nouveau, qui estoit qu'ilz se asseürassentbien l'ung de l'autre de ne faire paix ny trève l'ung sans l'autre et que l'empereur print toutes les seigneuries que ledict duc tenoit de l'empire et qui, par raison, en devoyent estre tenues et qu'il les feïst declairéz confisquées à luy et que le roy prendroit celles qui estoient tenues de la couronne, comme Flandres, Artoys, Bourgongne, et plusieurs autres. (COMM., II, 1489-1491, 19)
[10] Et, oultre, luy ouvrit ung party nouveau, qui estoit qu'ilz se asseürassentbien l'ung de l'autre de ne faire paix ny trève l'ung sans l'autre et que l'empereur print toutes les seigneuries que ledict duc tenoit de l'empire et qui, par raison, en devoyent estre tenues et qu'il les feïst declairéz confisquées à luy et que le roy prendroit celles qui estoient tenues de la couronne, comme Flandres, Artoys, Bourgongne, et plusieurs autres. (COMM., II, 1489-1491, 19)

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