C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de re dans 7FMR 
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[1] Vegecius, De Re Militari. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 67)
[2] Nulum sapientum de re publica cognovisse credimus qui non Galliam maxime timendatur putaverit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 118)
[3] l'une raison si est pour ce que impossible est à sens humain que de soy peust toutes sciences et art concepvoir sanz introduction d'autrui, et, pour ce, à ceulz, qui au mestier d'armes desirent à eulx instruire, est chose pertinent à sçavoir la science escripre, qui les induise avec l'experienceà sçavoir la practique, car les sciences et les ars, qui sont escriptes, ne furent mie trouvées pour ceulz, qui les sçaroient, mais pour introduire yceulz, qui encore n'en aroient la cognoiscence, si comme les livres de gramaire ou d'autre science, que on escript tous les jours, ceulz, qui les scevent, pourroient doncques dire : «Pourquoy nous escript-on telz livres, quant nous les sçavons ? (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 189)
[4] De art, en tant que s'estent l'oeuvreformelle, nul ne l'en passoit, tout n'eust il l'experience ou exercite de la main ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 34)
[5]" eadem lege "Et una re.," parapho "Si quis alium. (LA SALE, J.S., 1456, 31)
[6] Pongipond est une petite ville Assez peuplee et bien plaisante a voir, Qui de recueil et d'entree gentille Envers le roy tres bien fist son devoir,Et s'employa tant de corps que d'avoir De recevoir nostre armee a grant haste Criant tout hault: " Sire re, libertate! (LA VIGNE, V.N., p.1495, 221)
[7]Sire Dieu, pour ta grant puissance Qui as creé toute substance, Le solois et estuelle et lune, Et as donné droit a chascune Sa viertu et sa clareté Pour servir a l'umanité, Tu es la plus haulte lumyere A cieulx qui ont creance entiere ; (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 69)
[8] Verum in omni re opus est incepto: iter inde multis patet viis. (5425, 99)
[9] De ce dit un aucteur en in livre intitulé De vetula: Inquit Aristotiles, grecorum philosophorum princeps et dominus verique perhennis amicus, omnes res sunt tres, numerus ternarius in re qualibet existit. (ORESME, C.M., c.1377, 48)
[10] Et pour ce disoit l'aucteur devant allegué: Numerus ternarius in re qualibet existit, nec enim invenimus istum a nobis numerum, sed eum natura docet nos -- cest nombre .III. est en chascune chose et nous ne avons pas ce trouvé, mais nature le nous aprent. (ORESME, C.M., c.1377, 50)

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