C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de feue dans 7FMR 
10 attestations 
 Page /2 

[1] et en y a bien de la grosseur dune feue. (6203, 319)
[2] Et y survindrent le sire de Montferrand, maistre Guillaume Le Duc, president, et messire Giles de Clamecy pour dire à la Court et firent dire par la bouche dudit me G. Le Duc que le duc de Bedford, regent, avoit ordonné de faire aujourduy, en l'eglise des Celestins, celebrer les vigiles et demain les messes des funerailles de feue madame Anne de Bourgongne, sa femme, et qu'il prioit ou requeroit lesdis presidens et conseilliers de la Court qu'ilz feussent ausdictes vigiles, messes et service, et après icelles messes et service au disné en son hostel des Tournelles. (FAUQ., III, 1431-1435, 80)
[3] et doctrine, bon exemple et euvre proffitable à vous, mon souverain seigneur, mon prince et mon maistre, Phelippe,par la grace de Dieu archeduc d'Austrice, premier de ce surnom, duc de Bourgoingne, de Lotrich, de Brabant, de Lembourg, de Luxembourg et de Gheldres, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne palatin, de Haynau, de Hollande, de Zellande et de Zuytphen, marquis du sainct empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines, filz de très illustre et très sacré prince Maximilian d'Austrice, par la clemence divine Roy des Rommains, et de ma souveraine princesse, feue de très noble memoire, madame Marie, ducesse de Bourgoingne, dame et seule heritiere de la très haulte, puissante, doubtée et renommée maison de Bourgoingne, et des seignouries suyvantes [ la duché de Bourgongne ] ès intitulacions cy dessus escriptes, et d'aultres seignouries pluseurs dont les noms attribuez ès mandemens et choses servans à tiltres ne font nulle mention pour cause de briefté, comme des contez de Mascon, Charolois, Auserrois, Bouloigne, la visconté d'Ausone, la seignourie de Betune, de Chasteau Chynon, Noyers et aultres seignouries et nobles parties. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 7)
[4] Et de lui je parle expressement pour ce que de tout morut vray possesseur, et les laissa en succession possessant à feue de très vertueuse souvenance madame Marie de Bourgoingne, que Dieu absoile, vostre mere et sa seule heritiere. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 12)
[5] Item, et que par le Roy sera restitué et paié à monseigneur le conte de Nevers et audit monseigneur d'Estampes, son frere, la somme de trente deux mil huit cens escuz d'or, que feu le Roy Charles derrenier trespassé fist prendre comme l'en dit en l'eglise de Rouen, où icelle somme estoit en depost, comme deniers de mariage et appartenans à feue madame Bonne d'Artois, mere desdiz seigneurs, ou cas que l'en fera deuement apparoir que icelle somme ait esté et soit allouée en compte au profit dudit Roy Charles, pour icelle somme de XXXIImVIIIc escuz paier à telz termes raisonnables qui seront advisez, après le paiement fait et accompli à mondit seigneur de Bourgoingne, des Lm escuz dont dessus est faicte mencion. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 228)
[6] Advisez du temps du roy Richard, quant il espousa feue ma dame vostre seur et il eult treves deXXVIIJ ou XXX ans en esperance de trouver paix final, mais elles ne durerent gaires, car ilz tuerent et firent morir leur roy et firent guerre; (JUV. URS., T. crest., c.1446, 164)
[7] une paire de saint Pierres de terre painte ou coffre d'une des filles d'icelle Gilete, ensamble une chemise à usage d'homme, par li vendue IJ s., avec un queuvrechié vieil que une des voisines de ladite Gilete avoit baillié à buer en l'ostel d'icelle feue Gilete, sa maistresse, lequel est encore par devers elle et en sa garde. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 199)
[8] et dist que, pour ce qu'il li fu dit et prié, par aucuns des amis d'une jeune femme nommée Agnesot, femme dudit Hainsselin, que elle avoit moult grant mal en sa teste, et que le servel de la teste li cheoit sur les yeulx, sur le nez et en la bouche, elle recordant des paroles et bons enseignemens que sa feue mere li avoit dittes et enseignées en sa jeunesce, dist à ceulx qui la venoient prier et requerre que elle garrisist ladite Agnesot, que au plaisir de Dieu, et bien brief, elle le garriroit. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 328)
[9] et avec ce, par ainsi que le dit Jehan aura en la dite eglise du dit prieuré deux messez de Requiem, chascune sepmaine, que le dit prieur qui y est et qui pour le temps sera fera deservir, dire et celebrer des maintenant a touz jours mes en la dite yglise du dit prieuré, pour l'ame du dit Jehan, de feu Guillaume Gervese, son pere, de feue Alips, sa mere, pour l'ame de Jehanne, sa premiere fame, de Jehannete, sa fame a present, et pour les ames de touz ses enffans, mors et vifz. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 194)
[10] De par lesquelz habitans fut proposé par leurdict procureur ancontre le procureur de mondict seigneur plusieurs faiz et raisons par exception et affim d'absolution, c'est assavoir que iceulx habitans des Brevieres auroient, a bonne, juste cause et raisonnable, couppé, prins, levé et amporté dudict boys es boys dudict monseigneur, et aussi du fruict creu en iceulx boys,c'est assavoir au lieu que l'en dit l'Estanchet, aux Boys aux Fourniers, en alant a contreval de Malmaison jusques a la maison qui fut feu Jehan de la Villeneuve, nonmee la Boissiere, et d'icelluy lieu jusques aux Boys appellé Barbe et jusques au Chesne Hardouin, et dudict lieu en allent contreval jusques a la Boissiere des Plains Vaulx, et d'icelluy lieu jusques a la Vente au Sceleur, et dudict lieu jusques au Chanps de Haulte Bruyere et des Essars le Roy et aux boys que l'an dit les Grans Coustumes, en l'endroit a la maison que l'en dit la maison feue Hamelline de Condé ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 593)

Fermer la fenêtre