C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de chevalliers dans 7FMR 
102 attestations 
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[1] Ces deux estoyent très vaillans et saiges chevalliers et avoyent la principalle charge de l'armée. (COMM., I, 1489-1491, 12)
[2] plusieurs bons chevalliers et escuyers furent ordonnéz à demourer à pied, dont monsr des Cordes et son frère estoient du nombre. (COMM., I, 1489-1491, 23)
[3] Dès ce que le roy Edouard fut en terre, il tira droit à Londres, car il avoit plus de deux mil hommes tenans son party dedans les franchises, dont il y avoit trois ou quattre cens chevalliers et escuyers, qui luy fut grand faveur, car il ne descendoit pas à grans gens. (COMM., I, 1489-1491, 213)
[4] Seigneurs, chevalliers etescuiers, et toutes aultres manieres de gens, que nostre seigneur par la grace deDieu roy de France vous commande et deffend, ou de par leur juge, surpayne de perdre corps et avoir, que nul ne soit armé, ne porteespee, dague ne aultre hernois, quel qu'il soit, se ce ne sont les gardes duchamp et ceulx que, de par le roy nostre seigneur ou lejuge, en auront congié. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 213)
[5]car les chevalliers des armes portent tout leur sens et leurs sciences en lamemoire de leurs chiefz, pour en ouvrer soubitement au grant besoingdes armes, quant il sourvient; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 245)
[6] et les chevalliers dessciences fault qu'ilz recueuvrent aux volumes de leurs livres, pour meilleurs conseaulx donner. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 245)
[7] Les chevalliers, de terre, arméz saillirent ; (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 85)
[8] Ces chevalliers feirent paix, non pas trefves, Avec Cadmus et prindrent aliance ; (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 85)
[9] Les vocalles ce sont les chevalliers, Qu'il entend cy pour ces cinq escolliers Avec lesquelz acomplit son ouvrage. (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 91)
[10] Demostenes il alla conduisant, Et Eschines de vertu reluisant,Solon d'Athenes et les Saiges de Grece, Varron, romain, de langaige cuisant, Les vicieux rudement accusant, Louant les bons chascun en son espece, Les chevalliers de force et de prouesse, Selon son cas à chascun donnant tiltre, Comme il appert par mainte sienne epistre. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 171)

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